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La mort est dans le pré, est-ce une histoire de vraie ?

Si vous regardez le film de France 3 La mort est dans le pré, vous vous demandez peut-être s'il s'agit d'une histoire vraie ? La réponse ici !

France 3 dévoile un nouveau téléfilm en exclusivité, La mort est dans le pré. Il est diffusé le jeudi 2 février 2023 sur la chaîne numéro 3 à 21h. Comme chaque année, les chaînes de télévision ajoutent des nouvelles séries et des nouveaux films à leur programmation pour renouveler leur contenu et ravir les téléspectateurs. Le téléfilm La mort est dans le pré est une exclusivité France 3 qui met en scène des acteurs déjà connus du grand public, et des nouveaux dans le milieu. N'hésitez pas à consulter le casting du film La mort est dans le pré, si vous souhaitez en apprendre plus sur la distribution du film. 

Les films et séries diffusés à la télévision sont très souvent inspirés d'une histoire vraie ou de faits réels, comme la série Une affaire française ou encore Fugueuse qui ont été diffusées sur la chaîne TF1. Pour autant, le film La mort est dans le pré est une histoire purement fictive. Elle n'a en aucun cas été inspirée de faits réels. Cependant, il s'agit de l'adaptation du roman de Frédéric Paulin.

L'histoire du film La mort est dans le pré est-elle vraie ?

La mort est dans le pré est un film diffusé le jeudi 2 février 2023 sur France 3. Il s'agit d'une enquête policière qui traite de la condition animale. Si vous regardez le film à la télévision ou en replay, vous vous demandez peut-être s'il s'agit d'une histoire vraie. La mort est dans le pré est un film fictif qui n'est pas inspiré de faits réels. En revanche, il s'agit de l'adaptation du roman de Frédéric Paulin « La peste soit des mangeurs de viande », qui touche à des sujets d'actualité comme les violences aux femmes et le trafic de viande bovine.

Pour rappel, voici le synopsis du film La mort est dans le pré de France 3 : « Dans une entreprise spécialisée dans l'abattage et le conditionnement de viande de la région de Manosque, le corps d'un homme est découvert, une étiquette au cou posant la question "Peuvent-ils souffrir" ? Les premiers soupçons se portent sur une association de défense de la condition animale, qui menait des actions contre cette entreprise. Samira Masson, chargée de l'enquête, apprend que la victime est un policier appartenant à un service de surveillance vétérinaire, qui était infiltré dans l'établissement. Un commandant de l'IGPN, Etienne Barjac, vient alors assister Samira dans son enquête. »