Mise à jour du 21 octobre 2021, 20:30 : Jean Castex a commencé à donner des éléments de contexte, affirmant que cette hausse des prix serait provisoire. Cette hausse concerne la plupart des denrées : l'énergie, avec le gaz et l'électricité, mais aussi le carburant.
Il s'agit d'une « indemnité inflation » pour les personnes percevant moins de 2000€ net par mois et par personne, d'un montant d'environ 100€. Elle devrait être versée dès le mois de décembre, la plupart des personnes éligibles devraient percevoir cette aide. Salariés, fonctionnaires, retraités... Il n'y aura pas de démarche à effectuer. Elle sera versée en une seule fois. Tout le monde y sera éligible, et pas seulement les automobilistes.
Au final, le Gouvernement a choisi de ne pas conditionner cette aide aux seuls conducteurs, dans la mesure ou cette inflation ne concerne pas uniquement les carburants. Il s'agit d'un coût important pour les finances publiques.
Après plusieurs mois de ralentissement de l'économie dans le monde entier, la reprise de l'économie est très importante. La conséquence de cette reprise historique est une très forte demande sur le marché des matières premières et de l'énergie, avec pour conséquence immédiate des difficultés pour s'approvisionner, et une hausse du prix du carburant pour les automobilistes français.
Très attachés à leur véhicule et leur mobilité, mais aussi souvent contraints dans le cadre des déplacements domicile-travail, les français attendent du gouvernement une réponse contre la hausse des prix du carburant. Le Premier ministre prendra la parole ce soir à 20 heures pour faire des annonces.
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On ignore encore le contenu exact des annonces du Premier ministre, qui comme nous l'avons indiqué prendra la parole à 20 heures sur TF1.
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Les premières rumeurs évoquent l'hypothèse de la mise en place de chèques-carburant. Plutôt que de baisser le coût du carburant pour l'ensemble des automobilistes, ce dispositif permettrait de cibler les ménages les plus précaires, mais également ceux habitant dans des zones géographiques où aucune alternative de mobilité n'existe. Pour les autres, cela permet d'éviter que des ménages aisés ou ayant accès à des alternatives ne bénéficient de cette mesure plutôt que de choisir des moyens de transport plus écologiques ou économiques.
Une fois de plus, tout sera détaillé par le Premier ministre ce soir à 20 heures. D'ici là, tout ce que nous pouvons écrire ne sera que des suppositions. Dans un contexte aidé par l'approche de la campagne présidentielle, pour laquelle tous les candidats ont des propositions à faire, le gouvernement doit réagir.
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