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Maquilleuse Sarkozy : quelles sont ses anecdotes ?

Invitée sur France 2, la maquilleuse de Nicolas Sarkozy a fait des confidences.

Les personnalités publiques ne sont jamais seules. Si beaucoup d'hommes et de femmes engagées dans la politique sont entourés de conseillers et d'assistants, et pour les plus connus d'entre eux de personnes chargées de leur sécurité, il existe autre personne qui leur est indispensable : un maquilleur ou une maquilleuse.

En effet, pour régulièrement passer devant les plateaux de télévision, il est primordial d'avoir le teint frais et d'avoir l'air en forme. C'est noamment le cas de Nicolas Sarkozy, qui a depuis de nombreuses années une maquilleuse attitrée.

Qui est la maquilleuse de Nicolas Sarkozy ?

Elle s'appelle Marina Michenet, et elle a rencontré Nicolas Sarkozy en 2003. À l'époque, celui-ci n'est pas encore Président de la République mais seulement Ministre de l'intérieur. Leur rencontre sera pour le moins particulière, et la spontanéité de la maquilleuse va plaire à Nicolas Sarkozy.

 Alors que la police vient d'arrêter Yvan Colonna en juillet 2003, recherché pour l'assassinat du préfet Claude Érignac à Ajaccio en 1998, Nicolas Sarkozy doit passer à la télévision. Alors ministre de l'Intérieur sous Jacques Chirac, ce sont ses services qui ont mené à bien les recherches qui ont permi d'aboutir à cette arrestation.

La maquilleuse ne connait pas encore le ministre, et ignore s'il acceptera d'être maquillé.

Je le maquille et je suis très spontanée : il me pose des questions, je réponds... Et puis à un moment donné je fais une bourde : je sors le recourbe-cils, un petit appareil qui fait un peu peur. Et là je commence à lui recourber les cils, et il recule, il a peur de cet engin. Il me dit « mais qu'est-ce que vous faîtes ? »

Et la je fais une bourde et je lui dis « Je suis désolée, vous avez un regard de chien battu ». [...] Et en fait il s'est retourné, il a appelé son homme de communication qui était au fond de la salle et il a crié « tu prends son numéro, je la veux ! ». La spontanéité lui a sûrement plu, je ne sais pas.